
24 août 2020
Alpinisme
Une progression de 25 mètres à l’heure, au mieux 1,5 km par jour. Sept jours pour couvrir péniblement 10 km à vol d’oiseau. Avec, pour toute nourriture, des pousses de bambous et de fades champignons. A cette diète drastique, s’ajoute la crainte perpétuelle de tomber inopinément sur un ours agressif. Retour sur le parcours d’Eric Shipton, injustement ignoré par les éditeurs de l’Hexagone.